Deux ans, deux ans déjà que j'ai eu droit à cette opération au nom imprononçable mais ô combien efficace. J'en avais parlé peu après l'intervention puis il y a tout juste un an. Et si j'en reparle aujourd'hui c'est à l'attention de ceux qui tapent ces mots barbares sur leur moteur de recherche (thrombo-endartériectomie pulmonaire) et tombent sur ce blog. Pour moi il ne s'agit plus que d'un vieux souvenir mais pour ceux à qui on a annoncé qu'ils subiraient cette opération c'est l'angoisse face à l'absence d'informations. Qu'ils n'hésitent pas, comme d'autres l'ont fait avant eux, à me questionner, à intervenir en commentaires sur ce blog ou à m'envoyer un message. J'y répondrai avec plaisir.
Aster pourpre - La fleur des bonnes nouvelles.
Et puisqu'on est dans l'optimisme, la joie de vivre et les bonnes nouvelles (il n'y a plus que ça qui m'intéresse), je viens de lire sur la Nouvelle République les propos tout à fait juste du Directeur de la prospective à l'IPSOS. L'intégralité de l'article se trouve sur cette page, dont je retiendrai la conclusion:
Les Français ont peur de l'avenir et idéalisent le passé, alors que c'est pendant les Trente Glorieuses que l'Abbé Pierre a lancé son appel au mal-logement ; et les autres exemples sont nombreux. La nostalgie devient un dogme, les acquis sociaux un sanctuaire. Mais les créateurs, les chefs d'entreprises peuvent donner de l'anti-pessimisme, produire de l'envie, de l'enthousiasme. Il faut se projeter, au sens du projet !
Voila. Produisons de l'envie, de l'enthousiasme ! Le 23 Mars prochain je participerai avec d'autres chefs d'entreprises à une réunion sur ce thème avec la présence très attendue de Michel Godet, un gars qui vient de publier un livre qui arrive à point nommé: La France des Bonnes Nouvelles ! Je vous raconterai.